La lutte en bio contre l’oïdium, maladie cryptogamique majeure du vignoble méditerranéen, repose sur le soufre. En Languedoc-Roussillon, la stratégie compte en moyenne 7,3 traitements, soit 76 kg/ha par an. L’objectif est de réduire ces doses. Plusieurs pistes sont étudiées. [caption id="attachment_3212" align="alignright" width="177"] La pression de l’oïdium dans les vignobles du pourtour méditerranéen est…
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