Changer de regard sur le mildiou : c’est ce que propose le vigneron Jacques Carroget. Détails sur sa stratégie de lutte, menée sur son domaine de 20 ha, en Loire-Atlantique.
En 2014, question mildiou, “on ne s’en sort pas trop mal. À part quelques attaques sur le haut des feuilles en fin de saison, on a bien géré.” Pour Jacques Carroget, du domaine de la Paonnerie à Anetz, en Loire-Atlantique, qui cultive 20 ha certifiés bio et biodynamie, le climat, plus clément que celui de 2013, a joué. Mais “il y a eu, ailleurs, des attaques sur grappes dès le début de la saison” ; 2013 n’avait pas vu le mildiou décimer la récolte non plus. C’est que sa gestion est une affaire de technique. Regardons-y de plus près.
Ce sujet vous intéresse ?
Venez lire la suite de l'article en vous abonnant ou en achetant le Biofil n°96