“Ce qu’il y avait de meilleur en France, c’était sa puissance agricole de qualité, sa biodiversité, sa ruralité, ses appellations, ses paysages gourmands, et bien, tout cela, la Pac a contribué à l’éradiquer en soumettant nos campagnes au dogme productiviste prêché par la Chiraquie et la FNSEA, pour convaincre nos paysans de devenir des ouvriers agricoles assistés”, écrit le critique gastronomique de Marianne.
Dans l’édition 22/05/10, Périco Légasse ajoute que l’agriculture intensive “a rempli nos assiettes de saloperies chimiques distribuées en grandes surfaces pour les seuls profits d’une industrie agroalimentaire mondialisée”. Selon l’auteur, notre “agriculture ruinée, en est à importer du lait de Nouvelle Zélande”.