Après plusieurs années de non-labour, il est fréquent de voir des céréaliers bio (c’est aussi vrai en conventionnel) revenir à la charrue, pour faire face à des problèmes d’envahissement par des adventices vivaces (chardons et rumex) mais aussi annuelles (folle avoine, ray-grass). Denis Habert, installé à Chauvigny-du-Perche dans le Loir-et-Cher, a dû revenir entièrement au…
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