En bio, l’usage du BRF en grandes cultures butte sur deux obstacles. À haute dose, il requiert une compensation azotée incompatible avec la réglementation. À faible dose, associé à la suppression du travail du sol, il pose la question du désherbage. Partant, il soulève un débat de fond, sans réponses pour l’instant. [caption id="attachment_2859" align="alignright"…
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Connectez-vous ou abonnez-vous pour y accéder.