Partager du foncier, un bâtiment, transmettre : le principe du “nid d’activité”, tel qu’il est identifié en Bretagne, ouvre le champ des possibles. Il permet en tout cas à de futurs producteurs de s’installer et tester une activité.
- Lauriane Lereau, éleveuse, l’accueillant éleveur Mickaël Romé et Baptiste Bahuaud, maraîcher, tous trois en bio.
“J’ai une ferme et je recherche des associés”, “peut-on intégrer un nid tout en conservant une activité à l’extérieur”… En octobre dernier, une conférence sur le thème des nids d’activités au salon La Terre est notre métier en Ille-et-Vilaine faisait salle comble. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : près de 1600 porteurs de projets à la recherche de foncier en Bretagne ; une seule installation face à trois départs à la retraite (1). Pourtant, de plus en plus d’agriculteurs se montreraient désireux de partager des surfaces, un bâtiment, un savoir-faire. Si le principe tient d’abord...
Ce sujet vous intéresse ?
La suite de l’article dans Biofil n°92 (mars-avril 2014)