En bio, quand on a pas les produits disponibles, on a pas d'alternative. Compte tenu des rotations agronomiques, une matière peut être disponible une année, mais ensuite manquer", explique Jean-Charles Cizeron. Derrière cette sérénité affichée sur son approvisionnement en matières premières, la profession s’interroge sur l’obligation de formuler à 100 % bio pour les monogastriques…
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Connectez-vous ou abonnez-vous pour y accéder.