Denis Martin, éleveur à Montoire (Loir-et-Cher) est fafeur depuis 5 ans. Son projet a été progressif et toujours évolutif pour gagner en autonomie.
Cet éleveur en bio depuis 2001 mène un élevage plein air naisseur-engraisseur de 80 truies (près de 700 porcs charcutiers/an). Ses choix ont évolué vers l’autonomie : aliment complet, camion-fabrique (1) et aujourd’hui Faf fixe. « La priorité, c’est l’aspect économique et la maîtrise de la fabrication, affirme-t-il. On affine les formules en fonction des saisons, des besoins et de l’état des animaux. C’est génial par rapport à un aliment standardisé ». Si l’éleveur se dit autonome
(...)