Les recettes de la valeur ajoutée
Si les producteurs bio ont, depuis longtemps, su se réapproprier leurs produits, ils savent se mettre au goût du consommateur. Mais il faut s’accrocher. Car la transformation à la ferme n’est pas qu’une recette, qu’un procédé, elle associe un tas d’à-côtés qu’il faut tenter de prévoir. Se lancer dans la transformation fermière est synonyme d’investissement, tant en capital qu’en moyens humains, faisant ainsi émerger de nouvelles formes d’organisation et de stratégies de commercialisation…
Des produits transformés voient leur gamme s’élargir, comme les huiles, les farines… D’autres s’orientent vers de nouveaux conditionnements et grammages… « Ce que je vois en dix ans, c’est une merveilleuse capacité de nos producteurs à s’adapter à la demande des consommateurs », souligne Françoise Morizot-Braud du Centre d’étude et de ressources sur la diversification.
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Cécile Marcus
Lire l’intégralité du dossier dans Biofil n°111 - mai-juin 2017.