En 2010, le projet Reine Mathilde embarque un groupe de Normands à la découverte des pratiques anglaises. La chicorée fourragère leur est révélée : elle a presque tout pour séduire.
Au retour d’Angleterre, Antoine Jeanne, gérant et technicien-conseil de Agronat, société de distribution d’intrants bio, entreprend de vérifier le potentiel de la chicorée sauvage en terres normandes […]
La chicorée est implantée en pur dans treize fermes normandes pour vérifier son influence sur la production et le goût du lait. “Nous avons, globalement, constaté une hausse de 5 à 10 % des volumes produits et pas d’incidence sur le goût”, explique Antoine Jeanne...
Lire la suite dans Biofil n°103 (janvier-février 2016)