Si les surfaces de pêche-nectarine, de cerise ou, dans une moindre mesure, d’abricots bio peinent à se développer, c’est à cause d’impasses techniques comme le monilia, la cloque, la mouche, etc. Les producteurs sont en demande de solutions. À défaut, pour l’avenir, c’est vers les variétés qu’ils se tournent : création de variétés plus tolérantes et plus rustiques, mais aussi évaluation des sensibilités des variétés existantes, tant anciennes que modernes.
*L’avenir aux variétés :
*Témoignages de producteurs
*Drosophila suzukii, un ravageur émergent et menaçant
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