Impliquée dans la défense de la santé humaine et de l’environnement, Générations Futures a disséqué l’enquête de Que Choisir parue le 24 septembre selon laquelle “aucun vin n’échappe aujourd’hui à la pollution par les produits phytosanitaires”. L’ONG démontre encore une fois, à partir des résultats de l’enquête, que les vins bio contiennent infiniment moins de résidus que les vins conventionnels (une teneur maximale 33 fois plus faible). Les contaminations inopinées, liées aux parcelles voisines, sont incriminées dans le cas de présence de traces. “Les niveaux sont si faibles qu’ils sont à peine décelables, mais c’est inadmissible que le vin bio puisse ainsi être contaminé, même en doses infinitésimales”, dénonce François Veillerette, porte-parole de Générations Futures.