“J’ai converti ma ferme en 2009 d’abord par conviction, raconte Benoît Chevassus, installé à Sazeray. J’avais déjà orienté l’élevage vers des pratiques utilisées bio, notamment l’autonomie alimentaire. Le seul grand changement est le suivi sanitaire. J’utilise des méthodes alternatives par choix personnel.” L’éleveur-engraisseur a suivi des formations en phytothérapie et aromathérapie auprès du Comptoir des…
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Connectez-vous ou abonnez-vous pour y accéder.