Nathalie Dallemagne suit une cinquantaine de domaines viticoles en Pays-de-la-Loire. 2012, l’année du 1er millésime bio, n’a pas été un long fleuve tranquille pour les vignerons. Le froid puis l’humidité et la chaleur, et au final un stress hydrique, ont mis leurs nerfs à rude épreuve : pour limiter la propagation du mildiou, l’observation et la…
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Connectez-vous ou abonnez-vous pour y accéder.