Très présents en cultures, les rumex le sont aussi sur prairies dont ils dévaluent la qualité du fourrage. Leur faible valeur nutritive ainsi que leur richesse en acide oxalique en font un fourrage dédaigné par la plupart des animaux, notamment les bovins et les équins.

“Quelle que soit la culture en place, les moyens de lutter contre le rumex sont toujours limités. On s’attaque à un géant, a reconnu David Knoden, animateur de l’association belge Fourrages Mieux (1) lors d’une intervention au salon Tech et Bio de Thorigné d’Anjou en juin dernier. 15 % des graines formées sont viables 8 jours après la floraison et 90 % 18 jours après. Il faut aussi savoir que leur durée de vie  peut atteindre 80 ans.”

(...)

Jean-Martial Poupeau

Retrouvez l'intégralité de l'article dans Biofil n°71