Réformes territoriales : la bio doit s’adapter aux 13 régions

Le 25/01/2016 à 7:00 par La rédaction


la bio dans les 13 nouvelles régions fin 2014 (carte : C. Rivry-Fournier )

Fusions, refontes, restructurations… Dans les 13 nouvelles régions, l’heure est aux grandes manœuvres. Les structures de développement de la bio rebattent leurs cartes. Si Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes (ALPC) pose de nouvelles bases dès janvier 2016, le flou règne encore un peu partout.
"Les territoires sont en pleine mutation. Et les structures bio doivent refaire leur place dans ce nouveau paysage. Les 13 nouvelles régions modifient la donne, mais pas seulement : changements de gouvernance suite aux élections, émergences de métropoles, de nouvelles communes, de regroupements d’intercommunalités, évolution des départements, autant de mutations de compétences au niveau de tous les territoires, qui génèrent des bouleversements. La région est désormais un échelon stratégique pour les financements, notamment via les crédits européens (Feader), en lien aussi avec les six Agences de l’eau. Pour être actrice de son avenir et aussi répondre aux demandes des collectivités locales, notamment via les appels a projets, la bio doit s’organiser. “Être identifiés et efficaces impose d’être présents sur le terrain et de se structurer au niveau de tous ces échelons”, affirme Patrick Goutagny, secrétaire national en charge de la reforme territoriale a la Fnab et président du Grab Auvergne." ...
Lire la suite dans Biofil n°103 (janvier-février 2016)